Options
Options financières
Le polycopié ci-dessous présente la notion d'option (call et put), les arbitrages, les modèles d'évaluation et une introduction à la sensibilité du prix d'une option
Le polycopié suivant détaille la sensibilité de la prime d'une option à la variation de certains paramètres :
- cours du sous-jacent ; delta
- volatilité ; vega
- durée restant jusqu'à l'échéance : théta
- taux sans risque : rhô
Options réelles
Contrairement aux options financières, les options réelles ne sont pas négociables. Elles constituent une vue de l'esprit qui permet de résoudre certaines problématiques de finance d'entreprise :
- Valorisation des capitaux propres vue comme la prime d'un call sur les actifs
- Valorisation d'un brevet
- Prise en compte d'une option de croissance dans la décision d'investissement
- Valorisation d'une concession vue comme un portefeuille d'options
- Choix du meilleur moment pour investir en supposant une option d'achat dont la maturité est infinie...
L'utilisation de ces options est fondée soit sur les modèles traditionnels de Black & Scholes [1973] et de Merton [1973], soit sur le modèle de Dixit & Pindyck [1991] dans l'hypothèse d'une option à maturité infinie.
La présentation du principe des options réelles et du modèle de Dixit & Pindyck de valorisation des options à maturité infinie, utiles pour déterminer le meilleur moment pour investir relèvent du polycopié ci-dessous
La logique de la valorisation des capitaux propres selon la formule de Black & Scholes est présentée dans la fiche ci-desssou
Les aspects opérationnls des options réelles avec recours à la formule de Black & Scholes sont détaillés dans le polycopiés ci-dessous
Leur bonne appropriation suppose la maîtrise des notions de base de calcul différentiel stochastique qui sont développées dans le polycopié ci-dessous. Un certain nombre d'applications pratiques des options réelles sont aussi présentées dans le document ci-dessous :
Distance au défaut
Le principe de la distance au défaut (D2D) a été popularisé par Moody's. Il a été sophistiqué par Vasicek dont les travaux sont à l'origine du calcul des engagements pondérés des banques